« Bailey est une femelle née avec les poils longs, blanche, et qui se faisait rejeter par les autres malinois car elle était différente d’eux. Mon conjoint l’a prise dans ses bras et elle s’est immédiatement endormie. On a su que c’était elle et qu’elle nous avait choisi. Les larmes ont coulé. Nous avions trouvé le premier amour de notre vie.
Quant à Jack, mon conjoint voulait un molosse. Nous avons décidé d’emmener Bailey le rencontrer. Au début beaucoup de chahut mais finalement au bout d’une heure de jeu ils se sont endormis patte dessus patte dessous. Cela m’a beaucoup ému car Bailey n’est pas sociable habituellement. Avec lui c’était une évidence. Le jour même, il découvrait sa nouvelle maison. Et nous avions trouvé notre deuxième bébé. »
Texte de Mélanie, leur maîtresse.
« Aujourd’hui, Florian et moi-même signons le bail de notre tout premier cocon d’amour. Seulement quelque chose manquait à notre vie : quelque chose à 4 pattes avec plein de poils et de wouf. Un chien de la SPA a particulièrement attiré notre attention. Ricard, mâle, 1 an, taille moyenne, couleur fauve. Un descriptif très succinct mais une envie de le rencontrer nous envahissait.
À mon arrivée il était très attaché à une bénévole et ne prêtait pas plus attention à moi. Jusqu’au moment où je me suis mise au milieu du parc, assise pour l’observer. Il est venu vers moi avec hésitation, s’est assis et m’a léché. Mes premières larmes ont coulé. Sentiment indescriptible, et c’est à ce moment là que j’étais sûre que c’était lui. Ricard s’appelle aujourd’hui Milo. Ce fut une surprise pour Florian et Milo en a eu très peur. Florian s’est allongé au sol et Milo l’a approché à taton. Aujourd’hui Milo à 2 ans, il est sociable, joue à souhait et nous rempli d’amour. Adopter c’est sauver, sauver c’est aimer. »
Texte de Mallaury, sa maîtresse.
Un jour, alors que Xavier était au restaurant, il entend dire qu’une petite Jack Russel recherchait une famille suite à la séparation de ses maîtres. Cécile rêvait d’un chien depuis longtemps et il le savait bien. Le jour de la saint Valentin approchant à grand pas, il décida que c’était le moment pour eux d’adopter un nouveau compagnon. Le 14 Février, Iloa, à tout juste un an, rencontra sa nouvelle famille et vit heureuse depuis bientôt 6 ans avec ses nouveaux maîtres.
Son papa, Xavier, est un peu mon « Sensei » en photographie et Cécile est toujours là avec sa bonne humeur permanente. C’est donc un honneur pour moi de pouvoir les prendre en photo mais surtout de les avoir rencontrés. Merci encore de votre soutien permanent !
« Un jour, Valentin et moi sommes tombés sur une photo d’un petit chiot tout noir de 3 mois qui cherchait une famille. Le pauvre bébé avait été abandonné dans un carton au bord de la route avec son frère d’après la vétérinaire de l’association. Son nom était Loki, comme le nom que nous souhaitions donner au futur chiot qui rejoindrait notre vie un jour. Comme par hasard..
Lorsque nous l’avons vu de loin le coup de cœur a été confirmé pour nous mais aussi pour lui. Nous ne voulions plus le lâcher ! Il avait peur de tout, et nous avons été là pour le rassurer et lui donner de l’amour. Maintenant c’est un grand chiot épanoui de 25 kilos qui nous le rend bien et nous comble de bonheur .
J’espère qu’il continuera de nous réveiller en chantant le matin en nous amenant son doudou pendant de nombreuses années. »
Texte de Sophie et Valentin, ses maîtres.
« Pookie a été arrachée à sa maman à tout juste 15 jours de vie, abandonnée chez un vétérinaire qui l’a soigné avant d’appeler une association. Autant dire qu’elle n’avait pas vraiment bien démarré dans la vie. Notre première rencontre fût un véritable coup de cœur. Une petite minette pleine de vie, une vraie battante, elle est tout de suite venue vers nous et jouait beaucoup. Aujourd’hui, Pookie est une belle minette de 6 mois, adore jouer, nous faire pleins de câlins, mais aussi observer ce que nous faisons, c’est un peu « l’inspecteur des travaux finis » très curieuse et croque la vie à pleines dents. »
Texte de Paul et Maeva, ses maîtres.
« Bonjour je m’appelle Baya, je suis une vraie scottish de 11 ans. J’ai débuté ma vie dans une famille qui avait craqué pour mon allure de bébé joueur et qui après ne s’était plus intéressé à moi… et a cherché à me placer. J’ai donc été adoptée par mon maître actuel il y a 5 ans et depuis nous sommes devenus de véritables complices. Mon maître apprécie mon caractère à la fois vif et calme car je me sens heureuse et en sécurité. Il n’y a pas une chienne et un maître, mais deux amis! »
Texte de Francis, son maître.
Énorme pensée à cette adorable chienne aujourd’hui au paradis des toutous.
« Elle est arrivée dans ma vie il y a 1 an et demi, un été. Ma voisine m’a demandé de la garder, car s’étant séparée de son compagnon, elle a dû partir sur Marseille dans un studio. J’ai donc gardé Tama qui était dans un état psychologique préoccupant.
Elle faisait des crises d’angoisse, son corps entier tremblait, elle haletait fort et pleurer. Cela a duré 2 semaines et avec beaucoup d’amour et de patience, nous avons réussi à se trouver… Son passé était bien douloureux… mais maintenant, à 10 ans, Tama a trouvé sa famille (2 adultes, 3 enfants, un lapin et sa copine chat !) pour finir sa vie… »
Texte de Karine, sa maîtresse.
« Le masque noir et les yeux jaunes c’est tel que je l’imaginais. Quand est venue cette portée de bébés Malinois à la clinique vétérinaire dans laquelle je travaille, il m’est apparu comme une évidence. Parmi ces chiots âgés de deux semaines, mon regard fut aussitôt attiré sur lui. Déjà il portait le nom de Murphy.
Son maître qui est aussi un ami a compris rapidement qu’il m’était destiné. Et quelques mois plus tard, il arrivait dans sa nouvelle maison, où je l’attendais avec impatience.
Aujourd’hui, 8 mois sont déjà passés en sa compagnie.
8 mois où malgré ses destructions de chaussures, de canapé, de meubles de jardins , de prises électriques et autres objets en tout genre, qu’il a pris plaisir pour se faire les dents de loup, et sa mâchoire de carnassier, ou simplement pour passer le temps.
Je l’adore. Il est parfait !! Même lorsqu’il me mord les fesses quand je ne cours pas assez vite lors de mes joggings en garrigues. Car je sais qu’il est là pour me protéger. »
Texte de Sabrina, sa maîtresse.
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